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Breakfast at Winkie's: Jauja, Lisandro Alonso, 2015
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Un inculte bafouille sur des films, de manière délibérément subjective et scandaleusement peu structurée. Jauja, Lisandro Alonso, 2015. Sur la grille de bingo du cinéma de super-auteur, Lisandro Alonso coche toutes les putains de cases, bravo à lui! On pourrait croire ici que j'avais décidé à l'avance de détester le film, mais non, je ne suis pas comme ça, j'aime même certains des films auxquels je fais référence ci-dessus, et c'est donc plein de bonne volonté que j'entame le film, me pinçant le bras jus...
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Breakfast at Winkie's: décembre 2014
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Un inculte bafouille sur des films, de manière délibérément subjective et scandaleusement peu structurée. L'année cinoche 2014 selon MOI. L'an dernier, les américains avaient frappé fort (Tarantino, PTA, les Coen), et seul le superbe Inconnu du Lac s'était hissé à leur niveau. Cette année, mon "top à moi que j'ai" est international avec du japonais, du français, du ricain, du chinois, du coréen. On s'en fout un peu mais quand même, c'est bien. 1 Le vent se lève Hayao Miyazaki. 3 Gone Girl, David Fincher.
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Breakfast at Winkie's: mai 2015
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Un inculte bafouille sur des films, de manière délibérément subjective et scandaleusement peu structurée. Mad Max Fury Road, George Miller, 2015. Si la déflagration que représente ce Mad Max dans le paysage du blockbuster actuel met en évidence la médiocrité de la concurrence, elle est aussi due à ses grandes qualités cinématographiques. La libération d'un groupe de femmes exploitées, et finalement celle d'un peuple, inscrivant ainsi son film comme un épisode d'une plus vaste mythologie. Mad Max Fury Road.
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Breakfast at Winkie's: novembre 2014
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Un inculte bafouille sur des films, de manière délibérément subjective et scandaleusement peu structurée. Le Solitaire, Michael Mann, 1981. Faites pas chier James Caan. Une des barrières qui m'empêchent habituellement de vénérer Michael Mann comme certains de mes amis (coucou), c'est le regard qu'il porte sur une virilité exacerbée, caricaturale (Gillette, la perfection au masculiiiin), qu'il ne m'avait jamais semblé jusqu'alors mettre en doute ou s'en amuser. Ou de la série Les Sopranos. Mais à l'intéri...
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Breakfast at Winkie's: mars 2015
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Un inculte bafouille sur des films, de manière délibérément subjective et scandaleusement peu structurée. Inherent Vice, Paul Thomas Anderson, 2015. Le ton du film est quand même triste, PTA filme la fin de l'utopie des années 60, et des personnages qui courent après un passé révolu. L'idée de la dégénérescence parcourt le film comme l'ombre de Charles Manson et sa secte. Il reste cette ambiance, qui restera longtemps, et des séquences très marquantes, qui valent sans problème le coup d'oeil. Ce "Dis-don...
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Breakfast at Winkie's: Inherent Vice, Paul Thomas Anderson, 2015
http://breakfastatwinkies.blogspot.com/2015/03/inherent-vice-paul-thomas-anderson-2015.html
Un inculte bafouille sur des films, de manière délibérément subjective et scandaleusement peu structurée. Inherent Vice, Paul Thomas Anderson, 2015. Le ton du film est quand même triste, PTA filme la fin de l'utopie des années 60, et des personnages qui courent après un passé révolu. L'idée de la dégénérescence parcourt le film comme l'ombre de Charles Manson et sa secte. Il reste cette ambiance, qui restera longtemps, et des séquences très marquantes, qui valent sans problème le coup d'oeil.
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Breakfast at Winkie's: avril 2015
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Un inculte bafouille sur des films, de manière délibérément subjective et scandaleusement peu structurée. Jauja, Lisandro Alonso, 2015. Sur la grille de bingo du cinéma de super-auteur, Lisandro Alonso coche toutes les putains de cases, bravo à lui! On pourrait croire ici que j'avais décidé à l'avance de détester le film, mais non, je ne suis pas comme ça, j'aime même certains des films auxquels je fais référence ci-dessus, et c'est donc plein de bonne volonté que j'entame le film, me pinçant le bras jus...
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Breakfast at Winkie's: Black Book, Paul Verhoeven, 2006
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Un inculte bafouille sur des films, de manière délibérément subjective et scandaleusement peu structurée. Black Book, Paul Verhoeven, 2006. Au sein de son magnifique Black Book, Paul Verhoeven se permet un clin d'œil malicieux à sa propre carrière de contrebandier à Hollywood. Dans cette scène la femme juive interprétée par Carice Van Houten est cachée par une famille catholique dont le père l'oblige à prier avant le repas. Libellés : Black Book. 16 juin 2015 à 16:52. Oui ah bon très bien mais. Est-c...
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Breakfast at Winkie's: Mad Max Fury Road, George Miller, 2015
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Un inculte bafouille sur des films, de manière délibérément subjective et scandaleusement peu structurée. Mad Max Fury Road, George Miller, 2015. Si la déflagration que représente ce Mad Max dans le paysage du blockbuster actuel met en évidence la médiocrité de la concurrence, elle est aussi due à ses grandes qualités cinématographiques. La libération d'un groupe de femmes exploitées, et finalement celle d'un peuple, inscrivant ainsi son film comme un épisode d'une plus vaste mythologie. Mad Max Fury Road.
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Breakfast at Winkie's: août 2014
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Un inculte bafouille sur des films, de manière délibérément subjective et scandaleusement peu structurée. French Connection, William Friedkin, 1972. J'avais vu French Connection gamin, j'en gardais un très bon souvenir un peu vague. A la revoyure, j'ai pris une bonne patate dans la tête, nom d'un petit bonhomme. Miladiou. Et même: fichtre, tiens. Le film met en scène deux flics new-yorkais aux prises avec un réseau de trafic de drogue venant de Marseille. Marcel Bozzuffi, le Michael Ironside français.