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Le dénominateur commun: octobre 2005
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25 octobre, 2005. Piqué des étoiles qui meurent, pris de folie, douce infinité de plénitude, c’est bien là ton savoir qu’illuminent les êtres? Grandis, dorés, bercés, aimés, figés, ternis, parfois maudits, crachés. Figés. Pourpre et sombre aux mêmes heures, tu t’abandonnes. Mauvais génie? Même en plein cœur de ses reflets diurnes, l’automne n’est qu’un fruit de quatre. 23 octobre, 2005. Celle-ci attendait avec la tranquillité d’une force sereine : son étendue, sa nature friable et pourtant profonde...
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Le dénominateur commun: En diagonale
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30 mai, 2007. D’une main prendre en soi le soleil. Les yeux noirs de lumière. Le ciel en ceinturon. Par-devant nous bien haut le foc ivre de vent. Des idées qui comme poussières voltigent. Loin, loin de nous les champs de cathédrales! Loin de nous les Gisants, les Doctes et les Sombres! Les Broyeurs de papier! Place au grand carnaval et faisons fi des masques! Alors plus de visages mais. Qui font bonne figure. Ceux du cercueil où gisent. Les gestes si gracieux. Sur les cous haut perchés! Y a dit…. Aux te...
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Le dénominateur commun: Départ
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21 mai, 2007. J’avance envers et contre tout, j’avance envers et contre toi. J’ignore s’il fait un temps de temps. Je ne sais pas même si tant s’en faut. J’avance, et je louvoie - je sais. Puis-je te dire vous? Car c’est toujours à rebours que l’on aime. Vous dirai-je à nouveau ce qui est devant moi : le mur et son ombre infinie, comme une mer secrète. J’avance encore ; je sais qu’il faut s’y perdre. Un ver à soie? Car c’est toujours en amour que l’on peine. Inscription à : Publier les commentaires (Atom).
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Le dénominateur commun: juin 2006
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29 juin, 2006. Le soleil s’étirait sur fond de ciel mousseux, c’était un matin froid. D’octobre ou de novembre je crois. Que depuis toutes les aubes se ressemblent : un alcool clair noyant peu à peu les étoiles dans son étourdissement, embrasé par quelque éclat d’originel silex. À travers les carreaux de la chambre où notre lit voguait, tant bien. Que c’était toi mon port, mon havre, mon. Tendre abri, ou. Et fier tel un drapeau arraché à la berne. Gonflait, claquait, sifflait. Afficher mon profil complet.
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Le dénominateur commun: Tristesse blanche
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18 mai, 2007. Il neige dans tes yeux c’est la saison trop froide. Montréal est déserte presqu’île de mon cœur. Plus loin le fleuve pris dans son étau de glace. Il neige sur ta bouche on a salé les routes. Pour sauver le chemin du gel et si l’on pleure. C’est que le vent sans doute accroche les paupières. Un geai prend son envol. Il neige sur tes seins oiseau de mon bonheur. Ton souffle dans le givre et ma soif infinie. Quand le sang monte aux joues pour un accès de fièvre. Pour un excès de vie.
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Le dénominateur commun: décembre 2005
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21 décembre, 2005. Ton regard a l'étonnante circonvolution. De ce qui m'échappe encore au creux de tout visage. Tes lèvres, l'évidence douce. Je te dessine en mémoire et comme à l'aveuglette,. D'un trait de solitude : toi c'est. Boucle bouclée, corps enchaînés ; c'est toi. L'étreinte que je cherche. Inscription à : Articles (Atom). Afficher mon profil complet. L'éclair de la rose. Le blog de Lionel-Edouard Martin. Aux tempes des miroirs.
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Le dénominateur commun: Plage
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18 mai, 2007. Et déjà l’océan. Rythme en vain nos absences. Quelque part une plage. Des galets sans arêtes. Un loup noir qui se baigne. L’océan dans la ville et son écume. La folie des erreurs. Sur les ombres plurielles. Dans les pupilles froides. Comme des galets sobres. Le choc d’une autre lune contre sa marée. La plage de l’enfance. Ses crânes de mouton. Et déjà l’océan dans le ciel. La brisure d’une aile. Quelque part un loup noir. Dévore mais en vain. Un tremblement, une émotion, des souvenirs.
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Le dénominateur commun: Le soldat
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18 mai, 2007. Quand je marche vers toi. Quand je marche vers toi j'oublie de respirer. Mais la mort a déjà quelque chose de toi. Ton parfum ton grain de peau peut-être qu'en sais-je ta misère. Et mon sang tape dur ce féroce soldat. L'écume monte aux lèvres quand je marche vers toi. J'apprends la mer à boire et chantent les sirènes. Qui vont par deux toujours dans leur jardin funèbre. Où les marins se noient. Le voyage est si long dans tes sables mouvants. Quand je marche vers toi en pays adultère.
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Le dénominateur commun: Fou Zéphyr
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20 août, 2006. Je me tiens au milieu d'îles gigantesques,. Je me tiens près d'elle qui grandit, qui grandit sans mesure,. Et qui s'envole enfin, éclaboussant le ciel! Fendant tout un carcan de nuages! Et je ne me tiens plus, je fonds, je diminue, me dissous, m'écrase, et. Suis emporté dans un lourd vent d'orage métamorphosé. Les hippocampes hennissent, terribles crinières, qui d'. Absolu réclament les fées, les fées mères, les génitrices, tout ça dans un immense, un. Où les créatures sont des.