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Le porte-bonheur | Au pays de Nomo
https://lisnel.wordpress.com/2015/07/26/le-porte-bonheur
Au pays de Nomo. Il n'y a pas de honte à préférer le bonheur A. Camus. Nos solitudes pourléchées par la rumeur. Une enfance cachée au fond d’un vieux chagrin. Deux passés courageux écrits à la sueur. Une cerise bleue à portée de nos mains. La révolte qui tendrement s’est installée. Comme un masque sur les blessures d’injustice. Le chemin de l’air clos par nos cris ravalés. Le vent de l’absolu entre nos cicatrices. Deux regards découvrant tout au bout de nos doigts. Sur le même thème. Vous commentez à l'a...
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Nouvelle adresse | Au pays de Nomo
https://lisnel.wordpress.com/2015/05/30/nouvelle-adresse
Au pays de Nomo. Il n'y a pas de honte à préférer le bonheur A. Camus. Juste l’envie d’arriver à l’heure. Ni en avance, ni en retard. Avant de mourir de rire. Puis le dernier soir. Tous les jours qui le précèdent. Et ceux qui le suivront peut-être. Je voudrais tant que tu sois là. Tout est en place dans mon nuage. Avant qu’il ne change d’adresse. Tout est en place. Mes deux yeux, ta beauté. Mes deux mains, ta peau nue. Mes deux épaules, tes cheveux en liberté. Mes lâchetés et ta bonté. Sur le même thème.
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Mon inattendu | Au pays de Nomo
https://lisnel.wordpress.com/2015/07/31/mon-inattendu
Au pays de Nomo. Il n'y a pas de honte à préférer le bonheur A. Camus. Mon monde est bleu comme un champ de tournesol. Son monde est précieux comme un chant de rossignol. Il fait si bon en dedans, plus rien ne cloche chez moi. Peut-être son brin de muguet qui me désarme parfois. Son fleuve est tranquille comme la pleine lune en elle. Ma ville est heureuse comme le vol d’une coccinelle. Je la vis comme vit le soleil au-dessus de mes visages. Chaque rai embrase la peau de tous mes nuages. Sur le même thème.
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Cerise bleue | Au pays de Nomo
https://lisnel.wordpress.com/2015/07/04/cerise-bleue
Au pays de Nomo. Il n'y a pas de honte à préférer le bonheur A. Camus. Montréal-Singapour, aller et puis retour, l’océan est un ruisseau immense et les mots des compagnons fidèles du silence. Drapée de connivences, voilà une cerise bleue au-dessus du gâteau de l’existence. Je vous embrasse et que votre été soit riche de belles surprises. Le regard en verbe, je t’imagine et tu respires à travers tous les pores de mon silence. Je t’ai tant rêvée que je ne sais plus où tu finis et même où tu commences.
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Je vogue vers la plénitude | Au pays de Nomo
https://lisnel.wordpress.com/2015/08/04/je-vogue-vers-la-plenitude
Au pays de Nomo. Il n'y a pas de honte à préférer le bonheur A. Camus. Je vogue vers la plénitude. Je vogue vers la plénitude. Le long d’une route légère. Loin des flots de la multitude. Où je sombrais year after year. Combien de cris a-t-il fallu. Avant que mon ventre m’entende. Combien de nuits ai-je vécu. Avant que la peur me transcende? Mon être est bleu sous la clarté. D’un ange qui m’a vu renaître. J’ai l’âge d’un pur étranger. À peine quelques jours peut-être. Je suis le fruit de son courage.
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Et la vie qui bat la mesure… | Au pays de Nomo
https://lisnel.wordpress.com/2015/07/28/et-la-vie-qui-bat-la-mesure
Au pays de Nomo. Il n'y a pas de honte à préférer le bonheur A. Camus. Et la vie qui bat la mesure. Valse, valse, valse douce vague. Toi qui n’as jamais su te poser. Ni ici, ni ailleurs. Ni aujourd’hui, ni hier. Que d’embruns à jamais perdus. Sur des rochers à fleur de mot. Que d’élans tendrement brisés. Sur des mirages à fleur de peau. Valse, valse, valse douce vague. Toi qui n’as jamais su être. Qu’une onde multiple dans l’éphémère. Sous les caresses des brises douces-amères. Contre un rempart imprévu.
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Qui es-tu ? | Au pays de Nomo
https://lisnel.wordpress.com/2015/05/03/qui-es-tu
Au pays de Nomo. Il n'y a pas de honte à préférer le bonheur A. Camus. Tu es la rivière de diamants verts. Autour du cou de notre connivence. Tu es l’or des chercheurs de vérité. Le mystère réside dans ta nudité. Fidèle, tu es la lune pleine. Portant la graine de mon insouciance. Sauvage, tu es l’eau bleue. De mon jardin peuplé d’abeilles. Chaque goutte de toi est une épaule. Où se pose mon envie de t’écrire. Chaque rêve de toi est une arme. Qui défend ce qui me reste de bonheur. Sur le même thème. Au bo...
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Et tu seras mon jardin. | Au pays de Nomo
https://lisnel.wordpress.com/2015/04/16/et-tu-seras-mon-jardin
Au pays de Nomo. Il n'y a pas de honte à préférer le bonheur A. Camus. Et tu seras mon jardin. Dans un écrin de verdure. Où naissent et renaissent. Les pétales de mon chant,. Avec mes deux mains,. La lumière au bout des yeux. Et de l’eau sur mes lèvres. Et tu seras mon jardin. Pour accueillir ton cher passé. Et tes rêves aux ailes frêles. Tes arbres, un à un. Entre les berges du silence. Je sentirai ta sève monter. Jusqu’aux épaules de la confiance. Comme des larmes de l’enfance. Et tu seras mon jardin.
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Sans raison | Au pays de Nomo
https://lisnel.wordpress.com/2015/04/06/sans-raison
Au pays de Nomo. Il n'y a pas de honte à préférer le bonheur A. Camus. Je veux écrire sans façon. Juste envie de vous parler. De vieux rires séchés. Entre deux feuilles de mémoire. Arrachées à un lilas. Qui n’a jamais vu l’été. Envie de vous parler. Tel un chat au collier trop serré. Qui un jour sans raison. Avec sa tête heureuse. Et du chagrin plein les poches. Envie de vous parler. Entre deux verres de scotch. Où vogue un radeau ivre. D’une lune et de son Pierrot. Qui se sont aimés trop tôt. Laisser un...