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Maximgar et ces extraits de la Poussière: avril 2009
http://maximgar.blogspot.com/2009_04_01_archive.html
Mardi 7 avril 2009. Sumire, ou l'histoire que je ne raconterai pas. Je suis passé il y a quelques jours à la librairie, sans idée précise, comme ça, pour voir, et surtout parce que je passais devant. J’y ai acheté Les amants du Spoutnik, d’Haruki Murakami. Ce n’est qu’une centaine de pages plus tard que je me demandais soudainement éveillé : « mais pourquoi diable s’appelle-t-elle Sumire? Je retournai en arrière dans les chapitres de flashbacks, les souvenirs de K., les coups de fil de Sumire, la sil...
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Maximgar et ces extraits de la Poussière: janvier 2011
http://maximgar.blogspot.com/2011_01_01_archive.html
Mardi 11 janvier 2011. Un saule pleureur sur la plage. Je ne sais que trop bien de quoi je parle : mon père était peintre. Et dans son vieux silo cylindrique, à l’arrondi du torchis, il avait laissé des esquisses de ma mère qui prenaient la poussière et le froid. Et je sais que je me serais mieux entendu avec mon père, selon les jours où il avait peint ma mère. Grand-père aussi avait aimé mon père selon les jours. 171; Ce n’est pas un résumé que tu nous as fais là, Joseph. Je suis petit-fils de pêcheur, ...
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Maximgar et ces extraits de la Poussière: mai 2009
http://maximgar.blogspot.com/2009_05_01_archive.html
Vendredi 29 mai 2009. O Carnaval dos Amantes. Les rythmes qui débordent de la fenêtre ne l'empêchent pas de se rappeler une version bien précise de Nothing compares 2u. Lajos ajuste son masque, et dans le miroir, cherche à savoir ce qu'il y a de lui qui dépasse encore. Ou peut-être se demande-t-il comment un simple loup pourrait faire de lui un autre? A Rio de Janeiro, ça pourrait se comprendre, mais là? De la salle de bains on le corrige : « Tu n'es pas Zorro, mais Pantalone. Il y a 2 mois. Il y a 1 an.
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Maximgar et ces extraits de la Poussière: O Carnaval dos Amantes
http://maximgar.blogspot.com/2009/05/o-carnaval-dos-amantes.html
Vendredi 29 mai 2009. O Carnaval dos Amantes. Les rythmes qui débordent de la fenêtre ne l'empêchent pas de se rappeler une version bien précise de Nothing compares 2u. Lajos ajuste son masque, et dans le miroir, cherche à savoir ce qu'il y a de lui qui dépasse encore. Ou peut-être se demande-t-il comment un simple loup pourrait faire de lui un autre? A Rio de Janeiro, ça pourrait se comprendre, mais là? De la salle de bains on le corrige : « Tu n'es pas Zorro, mais Pantalone. Il y a 2 mois. Il y a 1 an.
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Maximgar et ces extraits de la Poussière: Sumire, ou l'histoire que je ne raconterai pas
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Mardi 7 avril 2009. Sumire, ou l'histoire que je ne raconterai pas. Je suis passé il y a quelques jours à la librairie, sans idée précise, comme ça, pour voir, et surtout parce que je passais devant. J’y ai acheté Les amants du Spoutnik, d’Haruki Murakami. Ce n’est qu’une centaine de pages plus tard que je me demandais soudainement éveillé : « mais pourquoi diable s’appelle-t-elle Sumire? Je retournai en arrière dans les chapitres de flashbacks, les souvenirs de K., les coups de fil de Sumire, la sil...
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Maximgar et ces extraits de la Poussière: septembre 2009
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Mercredi 9 septembre 2009. La Ballerine sur un plateau automate. C’est l’histoire d’une danseuse dans une boîte à musique. Dès qu’elle s’ouvre, elle tourne. C’est une histoire sans bon mot et sans rime, une prose mécanique qui bourdonne discrètement. Elle se croit à la Scala dans son aplomb délicat, ses jambes en quatre cursif. Du début à la fin, juchée sur son orgue de barbarie, dans son arabesque à pointe, elle danse. Figée, mais elle danse. Inscription à : Articles (Atom). Il y a 2 mois. Il y a 1 an.
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Maximgar et ces extraits de la Poussière: La Ballerine sur un plateau automate
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Mercredi 9 septembre 2009. La Ballerine sur un plateau automate. C’est l’histoire d’une danseuse dans une boîte à musique. Dès qu’elle s’ouvre, elle tourne. C’est une histoire sans bon mot et sans rime, une prose mécanique qui bourdonne discrètement. Elle se croit à la Scala dans son aplomb délicat, ses jambes en quatre cursif. Du début à la fin, juchée sur son orgue de barbarie, dans son arabesque à pointe, elle danse. Figée, mais elle danse. Inscription à : Publier les commentaires (Atom). Il y a 1 an.
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Maximgar et ces extraits de la Poussière: Un saule pleureur sur la plage
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Mardi 11 janvier 2011. Un saule pleureur sur la plage. Je ne sais que trop bien de quoi je parle : mon père était peintre. Et dans son vieux silo cylindrique, à l’arrondi du torchis, il avait laissé des esquisses de ma mère qui prenaient la poussière et le froid. Et je sais que je me serais mieux entendu avec mon père, selon les jours où il avait peint ma mère. Grand-père aussi avait aimé mon père selon les jours. 171; Ce n’est pas un résumé que tu nous as fais là, Joseph. Je suis petit-fils de pêcheur, ...
