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Vue du bocal: mars 2009
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Finalement j'ai pas de coeur :. Fuck me encore mon animal. Fourre moi mon corps. La chair, le muscle et le mâle. Électrisent ta poigne d r e t t e. Tu prends et tu rues;. Pantèle et râle de renfort. Touche moi encore, ma bête. Tâte toute ma peau. Que le métal de tes anneaux. Frotte la langue folâtre. Encore, me pénètre. Fais moi le toute la nuit. Presse-moi sur quatre-vingts mètres. Étends moi ce qui luit. D’un pouce sévère. J’humecterai ton pavillon. Libellés : bienvenue à trashville. J'ai lu assez de r...
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Vue du bocal: septembre 2008
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Voici ce qu'il m'a dit l'autre jour:. Un rapporteur de plantage. Si ça continue comme ça, quel autre genre de liberté de lexique se permettra-t-il? Il va tu se mettre à m'appeler " manne. Va-t-il s'exclamer, en ses fenêtres d'avertissements, lors de ses défaillances occasionnelles: "AH FUCK! Je suis toute pour l'évolution de la langue mais en gardant une certaine forme, tout de même. Moi et lui, après tout, ne sommes pas encore assez intimes pour l'adoption de ce registre un peu trop familier à mon goût.
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Vue du bocal: Des pies et des confitures
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Des pies et des confitures. À la deuxième tentative, j'ai pu récupérer le travail convoité, pour me rendre compte de sa note, fort médiocre à mon avis. Pour moi, B, c'est médiocre. Parce que j'ai, lorsque j'y ai investi le travail, toujours eu des A. Sauf en Dessin Animé, le premier vrai échec, qui a marqué le début de ma désintégration. Quelque chose s'est passé qui a brisé ce mythe ainsi que sa réalisation. Or les professeurs, du moins à mon Université, ne semblent pas intéressés à cette appropriation ...
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comme des boutes de tête: mars 2009
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Comme des boutes de tête. On est trop ivre seul). Je dis ( je parle encore). Je ne rêve plus avec des avions de papier. J'ai des cailloux dans le coeur. Je ne me mène nulle part. Quand je pleure c'est pour dire Je t'aime et je m'en vais. Ce n'est pas vrai la fin du monde. Pourtant j'attends encore les armes contre le désastre. J'attends qu'on m'arrache de moi. Par petits bouts de tendresse. Faire des châteaux de sable. Il n'y a rien derrière. Il n'y a rien devant. Et le soleil sur nos tête.
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murmures. cris. inventaire: vers le vide
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Murmures. cris. inventaire. Mercredi 28 octobre 2009. Il faudra sauter inévitablement. J’hésite tout en bas. À force de demi-tours. C’est muette que j’avance invisible pour moi-même, je mâche ma langue pour m’empêcher de dire que. Non, je ne peux pas je dois me taire je ne sais pas pourquoi parce que tout le monde me force à parler tout le temps de. Il y a quelque chose qui m’échappe comme quelque chose qui fuit mais je ne le trouve pas le trou qui laisse s’enfuir le. Je pense à toi. Ces mots de ton corps.
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murmures. cris. inventaire: Résistance
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Murmures. cris. inventaire. Jeudi 24 septembre 2009. Au réveil, sa main encore glissée entre nos cuisses. Elle dort. Au creux du ventre, les monarques s’affolent. Les jours s’accumulent au bout de nos doigts. Huit, neuf, dix depuis que les regards se sont happés. Mille inconnus entre nous. Même son odeur n’a pas fait son nid au creux des jours d’absence. On ne sait ni sa date de naissance ni ses fleurs favorites ni ses rides ni ses peurs. On ne sait pas encore dormir avec elle contre nous. L'oeil au rale...
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murmures. cris. inventaire: mai 2009
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Murmures. cris. inventaire. Lundi 18 mai 2009. Un jour, une rédemption. Un visage aperçu qui ne portait rien d’elle. Il reste donc des femmes qui vivent hors de la mémoire. On aime le visage, on s’y attache, y revient, on le peint. Il y a quelque chose dans ce visage qui n’appartient qu’à nous. Il y a tout ce qui n’existait pas encore : l’amour d’une femme, le désir, les lèvres rouges. Ça dure. Un temps variable. Il y a des épiphanies et des goûts amers. Et les traits se mélangent. Dimanche 17 mai 2009.
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comme des boutes de tête: -Je dis
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Comme des boutes de tête. On est trop ivre seul). Inscription à : Publier les commentaires (Atom). Sur un site sporadiquement tenu à jour et sur lequel je dépose mes idées, projets, poèmes et autres mousses de nombril! Tu ne saura jamais les efforts qu'il nous a fallu faire pour nous intérresser à la vie; mais maintenant qu'elle nous intéresse, ce sera comme toutes choses- passionnemment. Comme si on pouvais tuer le temps sans blesser l'éternité! Le seul combat logique est un combat contre tous.
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murmures. cris. inventaire: Silence
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Murmures. cris. inventaire. Mercredi 30 décembre 2009. L’intimité s’installe. On apprend les détails d’elle. On découvre, ravie, le souvenir de ses traits au fond de la mémoire. Elle est là, jusque dans l’éloignement de la vie ordinaire. Quand on la retrouve, la fête éclate. Pendant un temps, on oublie encore l’enfance. L’avenir s’installe. Elle demande qui nous a offert ce cadre. On prend du temps avant de répondre. Pour elle, on veut trouver les mots exacts. Jaime bien vos texes,je les trouve très bons.
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Vue du bocal: avril 2009
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Je l'avais dit, oh oui, que je prendrais un coup à la santé de Moebius, oh oui. J'ai traîné dans le remugle triste de mon inertie et de mon apostasie envers l'avenir tout le samedi. Mais dites, il y a une voix qui émerge ces temps-ci. Je la sens bien, cette voix. Petite chose grêle, bourgeon pas sûr. Ah mais je ne peux plus l'empêcher. Ah mais je ne suis plus seulement qu'une irréfléchie-émule. Je patauge dans la cacophonie comme si c'était bel et bon. Vous savez le professeur qui me trouve comique?