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pente douce - Neurotica le journal d’un attardé
http://journal.neurotica.name/412/pente-douce
Chercher, humer, remuer chaque gravillon pour ne trouver que le sable et la vapeur d’un temps oublié. je perçois encore si nettement les points, les contacts, sonorités, inquiétudes et rires. tant de vies broyées, gaspillées. l’ignorance a construit une histoire, le doute en a verrouiller les accès. donner sans jamais reprendre, donner sans attendre et [.]. Le journal d’un attardé. Plus loin, plus rien, plus vite. accepter le vide et la tentation de la chute. plus vite, plus loin. le néant n&...La limite...
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distance - Neurotica le journal d’un attardé
http://journal.neurotica.name/427/distance
Une distance. une distance comme point de départ. éloignement discret et présence des couleurs. vert et or, un point d’or sur un lac vert. puis le rouge comme une masse légère. repère. explosion de boucles lissées, ciselées. doucement, naturellement l’éloignement est devenu présence. discrète mais perceptible. à la fois douce, maladroite peut-être, et mystérieuse. ce [.]. Le journal d’un attardé. Debout, je scrute au delà des horizons…. Lhorens b. sartori. Ambiance : bent light (Tennessee 2004) - Praxis.
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effroi - Neurotica le journal d’un attardé
http://journal.neurotica.name/190/effroi
Armer, presser sur le bouton et prendre du recul. stop. le flux se diffuse et la tempête fait rage. les images défilent, impossibles à arrêter. la douleur est féroce, elle attaque la chair, admire le liquide. écoulement rougeâtre. capteurs photonique embrumés. Le dialogue reprend, arrive le monologue, arrive le départ. stop. visions de l’impossible, de l’excès [.]. Le dialogue reprend, arrive le monologue, arrive le départ. stop. visions de l’impossible, de l’excès [.]. Le journal d’un attardé. La lumièr...
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scintillements - Neurotica le journal d’un attardé
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C’est l’heure où les ombres reprennent leurs places, silhouettes découpées sur fond d’un ciel encore bleu. bleu avant de s’assombrir. bleu sans toute sa profondeur, bleu avant le scintillement. les détails, tous ceux que le jour cache, apparaissent enfin, loin de leur pudeur diurne. ils s’exhibent, quittent leur insignifiante absence. ils découpent, transpercent le reste [.]. Le journal d’un attardé. L’avant nuit a définitivement disparue, le voile de fraîcheur s’est installé. il est temps. Un être...
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avance ! - Neurotica le journal d’un attardé
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Avance, fuit, court. Le pavé, le bitume, la Seine. Avance, fuit, court. Le fleuve te rattrape. Oser traverser, oser le pont. Faire le grand saut, devant, derrière. Avance, fuit, court. Enjamber ou tanguer, pont ou passerelle. Le fleuve dentelle la ville,. Le fleuve rythme la ville, de la liberté à Saint Anne. J’avance, je cours, je fuis. J’admire le mythe, l’insolence et la tradition. Le point entre [.]. Avance, fuit, court. Le pavé, le bitume, la Seine. Avance, fuit, court. Le fleuve te rattrape. Cet ar...
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le mot de trop - Neurotica le journal d’un attardé
http://journal.neurotica.name/197/le-mot-de-trop
Un accident de mots, une chute. toujours en retard d’une syllabe, la lettre inversée. inexpressions et mots perdus. Expressions et sons. Un cri, une déchirure. un cri, un hurlement. Expression de la détresse. pourtant tout y est mais sans le sens, sans la Lettre, le cri reste lettre morte. L’envie du cri mais pas sans le sens. [.]. Un accident de mots, une chute. toujours en retard d’une syllabe, la lettre inversée. inexpressions et mots perdus. Expressions et sons. Le journal d’un attardé. Le mot de trop.
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A propos - Neurotica le journal d’un attardé
http://journal.neurotica.name/a-propos
Ce blog n’est qu’une attache, une simple accroche sur laquelle je pose de temps à autres une remarque ou un point de vue. De simples commentaires au grès du temps qui sont le fruit de mon attardement. Je n’ai pas activé les commentaires car cet espace n’est pas un espace de débat mais mon propre point [.]. Je n’ai pas activé les commentaires car cet espace n’est pas un espace de débat mais mon propre point [.]. Le journal d’un attardé. Lhorens B. Sartori. Un être humain attardé. Note: il est possible que...
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manifesto - Neurotica le journal d’un attardé
http://journal.neurotica.name/page/2
Des points, des rond colorés. Des volutes musicales qui se transforment en appels. Tous convergent, dans le temps et l’objectif. Vu de l’extérieur, un vaste serpentin bruyant et bigarré; de l’intérieur une lueur, une envie, une nécessité. J’ai vu cette masse, cette foule, perçu ses rires, ses espoirs et ses chants. Pourquoi exclure alors que [.]. Le journal d’un attardé. Il est impossible d’atteindre l’objectif sans souffrir. Ne pas être en majorité, c’est avoir tord! Au loin, il est encore possible d...
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2084 - Neurotica le journal d’un attardé
http://journal.neurotica.name/389/2084
Le jour se lève dans ma cellule alors que la nuit est encore bien installée à l’extérieur. Un coup d’œil rapide au plafond me ramène à la réalité. Il est 6 heures ce 2 février 2084. Mon agenda ainsi que mes flux d’information s’affichent au plafond décidément j’adore ce nouveau papier peint, son encre [.]. Le journal d’un attardé. Tiens un message de papa! Pratique ce carnet, il y a un classement chronologique. Voyons cela plus en détail…. 2010, des récits de violences où l’homme n’arrive plu...La nouvel...
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nuit et aveuglement - Neurotica le journal d’un attardé
http://journal.neurotica.name/168/nuit-et-aveuglement
Aveuglé par la clarté de la nuit, celle des caisses claires, des timbales et des carnavals. halo luminescent et imaginaire d’une nuit noire, lumière d’une fête rêvée. peut-être, aurais-je du accepter de dormir lorsqu’il en était encore temps. je ne saurai plus compter le nombre de jours et de nuits sans sommeil. ces nuits bercées [.]. Le journal d’un attardé. Plongé dans un sommeil profond, les yeux grands ouverts, je sourie…. Lhorens b. sartori. Ambiance : aram of zoba (Jonas Hellborg). Le mot de trop.