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Au delà du virtuel: Parfum de femme
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Au delà du virtuel. Ce soir Miss Pagerank est passée à la maison. Son odeur flotte encore dans l’air après son départ. J’ai échappé cette fois-ci à une invitation chez elle. La compagnie de son mari et de ses piques méchantes à l’encontre de sa femme m’aurait largement contrariée. Les choses se sont passées simplement. Elle est venue. Je lui ai fait écouter quelques disques achetés récemment. Sur un fond sonore de Melody Gardot et Martina Topley-Bird. Inscription à : Publier les commentaires (Atom).
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Au delà du virtuel: L’homme qui virait les femmes
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Au delà du virtuel. L’homme qui virait les femmes. Ce matin mon Boss a passé presque deux heures dans mon bureau. On a fait de la Com Interne et pas façon Monika Lewinski. Quoi que de temps en temps au fil de la conversation, mon regard faussement animé, se fixait sur son entrejambe. Peut-être a-t-il vu que je voyais. Peut-être que cela l’a rassuré sur son sex-appeal? 171; La grosse, comment ça va? Vous savez, on ne sait pas trop comment faire pour la virer. Cela ne va pas être facile. Il faudrai...Un tr...
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Au delà du virtuel: American pictures
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Au delà du virtuel. Joel Meyerowitz. Porch Series. 1976. Bibliothèques Méjanes une fin de journée dans la semaine. La salle Armand Lunel (mais qui est ce type, au fait? Se remplit un peu, trop peu, pour une conférence consacrée au photographe américain inconnu de moi : Joel Meyerowitz. La plaquette présentant son œuvre comportait une photo qui m’a plu et c’est pourquoi je me suis retrouvée au milieu de vieux photographes, universitaires et quinquagénaires bobos ce soir de février glacial. Finalement, cet...
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Au delà du virtuel: Oxygène
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Au delà du virtuel. Ce matin au bureau, entre deux appels à des clients suréquipés, j’ai pris un peu l’air en musique. Je me suis connectée à une plateforme musicale et j’ai pris une bouffée d’ Oxygène. Morceau que je n’avais pas entendu depuis, peut-être, vingt ans. Un peu comme toutes les voitures encore en état de fonctionner que l’on envoie à la casse depuis quelques temps parce qu’il faut bien gaspiller. Ouai, c’est ça, demain, je me mets Jim Morisson. Et je vais partir loin, très loin de tout.
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Au delà du virtuel: Sur les dents
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Au delà du virtuel. Est un bled vauclusien bien connu pour son vin à 15 degrés et 15 euros en moyenne la bouteille. Gigondas est un village-crèche qui attend le touriste friqué l’été et se met en hibernation l’hivers. Le fameux village est aussi réputé pour les massifs qui le surplombent, sortes de rochers découpés qui ressemblent à des rangées de dents gigantesques et déchaussées, plantées sur des gencives buissonnantes. Inscription à : Publier les commentaires (Atom). Afficher mon profil complet.
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Mémoires d'un négligeable indécent: mai 2015
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Mémoires d'un négligeable indécent. L'important c'est pas l'histoire, c'est la façon de la raconter - - -. Je sais pas me vendre, et puis j'ai pas envie. Comme si je faisais ma pute dans la nuit. J'aimais quand tu disais que j'étais un mec bien, qu'on t'avait jamais prise dans les bras comme ça, quand tu parlais de toi. Et puis peut être d'autres choses. Publié par Négligeable Indécent. Inscription à : Articles (Atom). Afficher mon profil complet. Fric Frac du virtuel. Petite fille gâtée (aka Quetzal).
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Mémoires d'un négligeable indécent: avril 2015
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Mémoires d'un négligeable indécent. L'important c'est pas l'histoire, c'est la façon de la raconter - - -. Parfois on marche dans la rue comme si on était seul au monde, on fait des signes à des gens imaginaires, on cherche un visage familier, ou dans un dernier effort on lève un poignet. On aurait aimé sourire mais quelque chose au fond de nous nous retient sans savoir ce que c’est. Alors on continue de marcher. Tout ça n’a aucun intérêt. On vit, on meurt, on baise. Parfois pas dans le même ordre. Elle ...
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Mémoires d'un négligeable indécent: FAITS DIVERS
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Mémoires d'un négligeable indécent. L'important c'est pas l'histoire, c'est la façon de la raconter - - -. Parfois on marche dans la rue comme si on était seul au monde, on fait des signes à des gens imaginaires, on cherche un visage familier, ou dans un dernier effort on lève un poignet. On aurait aimé sourire mais quelque chose au fond de nous nous retient sans savoir ce que c’est. Alors on continue de marcher. Tout ça n’a aucun intérêt. On vit, on meurt, on baise. Parfois pas dans le même ordre.
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Au delà du virtuel: Bise moi !
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Au delà du virtuel. Cette année, j’ai décidé d’un commun accord avec moi-même de boycotter. La soirée du nouvel an et son cérémonial grotesque consistant à embrasser sur la joue à minuit tapante chaque personne en présence de laquelle on se trouve. Ce rituel faux-cul qui nous plonge à chaque fois dans la gène quand il s’agit de faire la bise à un individu inconnu ou à celui – connu - dont on sait implicitement que l’on en a rien à cirer l’un de l’autre. De l’autre si cet autre est déjà passé par le...